Découvrez les conseils les plus importants que votre médecin spécialiste vous recommande et les réponses de nature médicale les plus adéquates pour chaque situation.
L'angioplastie peut être pratiquée par une incision chirurgicale ou par voie transcutanée :
Habituellement, la procédure dure entre 1 heure et demie et 2 heures et demie mais la préparation et la récupération font qu'elle dure quelques heures. Le patient peut rester dans l'hôpital sous observation médicale la nuit après l'angioplastie.
Les complications graves de l'angioplastie par voie transcutanée (l'obturation de l'artère par le clivage de la paroi ou hématome, hémorragie) sont rares. Après un temps, un nouveau rétrécissement (resténose) peur réapparaitre : elle est traité, habituellement avec succès, par une nouvelle angioplastie.
Au cas des retro sténoses coronaires, relativement fréquentes, les techniques de réparation se sont diversifiées de nos jours :
La plupart des patients ont besoin de :
Ces tests peuvent nécessiter une programmation séparée et d'habitue ils sont faits un jour avant l'intervention. On interdit au patient qui a besoin d'une procédure interventionnelle de manger et de boire après le minuit un soir avant l'intervention. Si le patient a une denture mobile, un appareil auditif ou des lunettes, il vaut bien les avoir sur lui le jour de l'intervention pour mieux communiquer avec le personnel médical.
En outre, il faut dire au médecin ou à l'infirmière s'il est sous traitement avec anticoagulants, insuline ou diurétiques ou s'il est allergique à aucune substance, particulièrement au iode, fruits de mer, substances de contraste pour radiographie, latex ou caoutchouc (tels les gants en caoutchouc or les ballons) ou médicaments de la classe de la pénicilline.
Le patient aura besoin de prendre de l'aspirine avant la procédure, donc il faudra dire au médecin ou à l'infirmière s'il a pris ou pas l'aspirine. Il restera éveillé pendant l'intervention mais il recevra des médicaments pour se détendre.
Le patient devra rester parfaitement tendu (sans jamais plier les genoux, par exemple), tandis que le manchon inguinal est en place. Un drap plié peut être placé au long de la jambe tant que le manchon est là, pour rappeler au patient de ne pas fléchir le genou.
Après avoir retiré le manchon inguinal, le patient devrait rester parfaitement tendu pendant encore six heures pour prévenir les saignements, mais une infirmière peut lui fixer un oreiller après deux heures. L'infirmière sera celle qui communiquera au patient quand il peut descendre du lit lorsqu'il est accompagné, de six à huit heures après le manchon inguinal a été retiré (ou plus tôt si un bouchon de collagène a été placé dans l'artère).
Le patient ne doit pas manger ou boire rien que des liquides clairs jusque l'on retire le manchon inguinal parce que la nausée peut apparaître pendant cette période. Une fois autorisé à manger, le patient sera conseillé de suivre une diète faible en cholestérol et en sel.
Le patient peut être retenu dans l'hôpital sous observation jusqu'au prochain jour. Il faut informer le médecin ou l'infirmière si le patient a de la fièvre ou des douleurs thoraciques, douleurs ou une tuméfaction dans la zone inguinale ou de la gambe. Si le saignement de la zone inguinale apparait après la décharge du patient, celui–ci doit demander de l'aide médical d'urgence et rester au lit. Il faut se déshabiller et presser la zone affectée, au niveau où il sent le pulse.
Si on a placé un stent durant l'angioplastie le patient doit prendre des médicaments anticoagulants pour réduire la possibilité de formation de caillot sanguins dans la zone du stent nouvellement implanté. Lorsque le patient est suffisamment récupéré après l'intervention et il a déjà discuté avec le médecin sur les soins suivants, il est préparé de partir chez soi.
Le patient doit reposer beaucoup plus durant les premiers jours après l'intervention. Il peut monter des escaliers mais dans un rythme lent et il ne doit pas forcer durant les mouvements intestinaux. L'activité du patient va augmenter pas à pas jusqu'au niveau antérieur à l'intervention. Ça se passe d'habitude à la fin de la première semaine après la procédure.
Même si la procédure accomplie durant l'angioplastie coronarienne va ouvrir l'artère bloquée, elle ne va pas mener à la guérison de l'affection coronarienne. Les facteurs caractéristiques au style de vie qui peuvent encore aggraver les maladies coronariennes, tels : la consommation du tabac ou un régime alimentaire riche en graisses devront changer. En outre, un programme régulier d'exercices physiques est recommandé pour améliorer la santé du cœur.
La coronarographie est une investigation qui étudie les artères coronaires du cœur pour :
Cette investigation est indiquée quand on suspecte la présence d'un infarctus du myocarde ou une angine pectorale, c'est–à–dire en cas de :
Ces investigations utilisent les rayons X et un produit de contraste à base d'iode. Le principe est d'offrir au médecin cardiologue la possibilité de visualiser les artères coronaires par leur opacification à l'aide un produit de contraste.
Un cathéter est introduit dans les vaisseaux sanguins (l'artère fémorale) et déplacé jusqu'à la proximité du cœur ou on injecte le produit de contraste qui se mélange avec le sang : de cette manière, le système de vascularisation du cœur devient visible (sur des clichés radiologiques grâce aux propriétés radio opaques de l'iode).
Un médecin cardiologue spécialiste en Cardiologie Interventionnelle effectue l'investigation. Lors de l'exploration, le patient est couché. Le rythme cardiaque et la tension artérielle sont permanemment enregistrés.
L'examen se déroule dans des conditions stériles, sous anesthésie locale. Le cardiologue commence par désinfecter la peau à l'aine et faire l'anesthésie locale. Une fois la zone anesthésiée, on introduit un cathéter dans l'artère fémorale. Ce cathéter est ultérieurement déplacé jusqu'à l'origine des artères coronaires. Tout l'examen se déroule sous contrôle visuel sur un écran. A la suite, on introduit le produit de contraste et, de cette manière, le réseau vasculaire du cœur est visualisé sur l'écran.
Si un obstacle est mis en évidence, on effectue l'angioplastie coronarienne qui consiste dans la dilatation du vaisseau sanguin rétrécissant à l'aide d'un ballon et, éventuellement d'un stent (voir l'angioplastie coronarienne). L'examen dure approximativement 30 minutes – 1 heure.
Apres la fin de l'investigation, les cathéters sont enlevés et, au lieu où l'artère fémorale a été piquée (l'aine), on comprime le vaisseau qui est fixé par un pansement compressif qui sera gardé pour 24 heures. Ainsi, on évite les saignements au lieu de la ponction de l'artère fémorale. Dans les heures suivantes à l'investigation, vous pouvez boire et manger normalement.
L'anesthésie locale est une simple piqure suivie par la ponction de l'artère fémorale. Celle–ci est un peu désagréable mais elle n'est pas douloureuse car toute la procédure a lieu sous anesthésie locale.
Le traitement de l'infarctus myocardique aigu est un traitement d'urgence aussi rapidement possible après le moment du début, afin de réduire la zone de nécrose myocardique et de prévenir les complications. La quantité de muscles qui meurent faute de sang peut être diminuée par la dissolution des caillots des artères coronaires et le rétablissement de la circulation du sang.
A l’apparition de la douleur, si vous avez déjà ce médicament dans votre traitement, mettez un comprimé de NITROGLYCERINE sous la langue au début des symptômes. Si la douleur ne disparaît pas, vous pouvez prendre encore 2 comprimés à un intervalle de 5 minutes.
Si les symptômes ne disparaissent pas après 15 minutes, appelez immédiatement l'ambulance! Attention! Ne prenez pas la Nitroglycérine si votre médecin ne vous l'a pas prescrite (car il y a des maladies qui peuvent être aggravées par l'administration de ce médicament!).
A l’hôpital, au département d'urgence le diagnostic est précisé par l'examen clinique et l'électrocardiogramme, puis le patient est transporté dans des unités spéciales, appelées Infarct Center, où l’on fait la surveillance et commence le suivi et le traitement spécifique de l’infarctus aigu de myocarde.
Le traitement consiste en:
Une autre variante de traitement pour la réouverture de l'artère coronaire impliquée dans l'infarctus myocardique aigu est l’angioplastie coronarienne d'une artère impliquée dans l'infarctus myocardique (dans les centres dotés de laboratoire de cathétérisme).
Le traitement est continué avec de l’héparine, des bêtabloquants (par exemple Metoprolol), Aspirine et éventuellement Clopidogrel, et également d'autres médicaments qui améliorent la fonction du cœur, selon la situation du patient. Le traitement de l’anxiété (fréquent chez les patients ayant sousi l'infarctus myocardique aigu dans les premières 24-48 heures) consiste dans l'administration des médicaments: Diazépam, Alprazolame, Hydroxyzine.
Ce que vous devez retenir est que le traitement médical n'est pas identique chez tous les patients qui se présentent avec infarctus du myocarde, il est différent selon l'état clinique du patient, la localisation de l'infarctus du myocarde, l’apparition ou non des complications.
Normalement, le patient atteint d’IAM reste 24-48 heures dans l’unité de coronariens (dans les cas non compliqués) et ultérieurement est transféré dans le deuxième échelon - les salons de suivi de l'infarctus du myocarde.
Les médecins savent maintenant plus sur le processus de guérison du cœur et, par conséquent, les patients reçoivent des meilleurs soins précoces après l'infarctus de myocarde, et la période de temps qui doit être dépensée au repos est brève.
Dans les cas ordinaires, quand le flux sanguin resté dans les artères coronaires est bon, le processus de guérison commence rapidement. La partie du muscle cardiaque qui a souffert une lésion permanente sera remplacée par une cicatrice.
L’infarctus de myocarde peut laisser certaines séquelles, qui sont variables et dépendent de:
Les séquelles peuvent être minimales dans les cas suivants: beaucoup de patients acceptent de cesser de fumer, de faire des exercices physiques, de perdre du poids, et quelques mois après l’infarctus ils récupèrent très bien.
Il y a également la possibilité de l'existence de séquelles:
Ces problèmes doivent être dépistés aussi vite que possible - leur apparition après un infarctus doit vous diriger vers votre médecin cardiologue! Le médecin adaptera le traitement en fonction des résultats.
Chaque personne se trouvant en convalescence après l’infarctus myocardique aigu a deux buts principaux:
En l’absence des complications, les patients ne devraient pas rester au lit plus de 12 heures. L’activité quotidienne doit être reprise progressivement, de manière individualisée, selon l'état général, l'âge et la capacité physique du patient.
L’Ière phase (les jours 1-2)
Pendant la première journée, le patient reste au lit. Il est capable de se nourrir seul en utilisant une table-support. Il recevra une assistance complète pour la toilette. Avec aide, il effectuera des mouvements passifs des bras et des jambes.
Pendant la deuxième journée, le patient peut s’asseoir sur le bord du lit ou sur un fauteuil pour 1-2 heures par jour. Il pourra bouger activement les mains/les jambes pendant 5-10 minutes par jours.
La IIème phase (les jours 3-4)
Le patient peut faire sa toilette et peut s'habiller tout seul, en conservant la position assise. Il peut s'asseoir sur une chaise ou un fauteuil aussi souvent qu'il désire et peut se promener à travers le salon.
Pendant la quatrième journée, le patient peut prendre une douche debout ou assis (l'utilisation d'une chaise réduit l'anxiété et la peur de tomber). Il fait des promenades de 50-100 mètres sous surveillance quelques fois par jour.
La IIIème phase (les jours 5-7)
Le patient peut faire des promenades d’environ 100 m trois fois par jour. Il peut se raser ou laver ses cheveux (des activités qui supposent d'élever les bras au-dessus de la tête). Il peut monter/descendre des escaliers sous surveillance
Habituellement, les meilleurs résultats sont obtenus lorsque le programme de récupération implique plusieurs personnes. La famille doit être compréhensive et participer activement au programme du patient. Cependant, une famille excessivement protective ou qui a des attentes trop élevées quant à la rapidité de la récupération peut lui retarder les progrès. C’est le médecin qui indique la croissance progressive de l'activité, les exercices et le traitement.
La sortie de l'hôpital
Le moment de la sortie varie selon l'état du patient et les types de traitement effectués. Avant la sortie de l'hôpital, les patients reçoivent des recommandations claires liées au traitement, le régime alimentaire et les activités physiques permises. Certaines des activités qui étaient possibles antérieurement pourraient être limitées après l'infarctus. Toutefois, pour la plupart des patients des adaptations sont possibles et ils peuvent ainsi reprendre leur vie active de manière satisfaisante, y compris la reprise du service, le cas échéant.
Recommandations lors de la sortie
Initialement, il est indiqué d’éviter l'effort physique important, de soulever des poids et de vous reposer plusieurs fois par jour. Au fil du temps vous pourrez effectuer plusieurs activités également selon la manière dont vous les supportez.
Vous devez éviter toute activité susceptible de produire des douleurs thoraciques angineuses!
Il est important d’avoir toujours à portée de main des tablettes de Nitroglycérine, pour les utiliser en cas de nécessité.
Un plan à long terme comprendra des modalités de réduire les facteurs de risque qui pourraient conduire à la répétition de l'infarctus de myocarde.
Il est essentiel de cesser définitivement de fumer! Chez les patients qui ne fument pas, pendant les années suivantes, le risque de maladie cardiaque a diminué de manière significative.
Le régime alimentaire correct a également une importance majeure. Il comprend l’abaissement de l’apport de graisses et cholestérol. Tout d'abord, il faut réduire l'ingestion de graisses contenues dans la viande et les produits laitiers. Il est bénéfique d’ajouter des fruits et des légumes frais à l’alimentation. Dans certaines situations, la diminution du cholestérol sanguin nécessite l'utilisation de certains médicaments. Dans le cas des patients hypertensifs, il faut également réduire la consommation du sel.
L’exercice physique et l’activité physique en général représentent un facteur extrêmement important pour la récupération après l'infarctus myocardique. Il est important de consulter votre médecin au sujet du niveau de l'exercice physique que vous pouvez effectuer. Vous serez mis en contact avec des spécialistes en cardiologie récupératrice, qui vous guideront à cet égard. Sous la surveillance de ceux-ci, dans le département de récupération cardiaque, votre l'activité physique sera surveillée et guidée pour la meilleure récupération physique. Discutez sans inhibitions cet aspect avec votre médecin.
L’activité sexuelle peut être reprise seulement après l'effectuation d'un test d'effort dans l'hôpital. On considère que l'activité sexuelle peut être reprise quand le patient peut monter deux étages sans problèmes.
D’autres mesures essentielles qui doivent être prises en vue de la diminution du risque cardiovasculaire dans le futur sont: le contrôle de l’hypertension artérielle, du diabète sucré et de la dyslipidémie (si présents), le contrôle du poids et éviter le stress. Après un infarctus myocardique ou en conditions d'angine pectorale, prendre des médicaments ne suffit pas. Ceux-ci peuvent être inefficaces si vous ne combattez pas également les facteurs de risque: l’obésité, le tabagisme, le diabète sucré, l'hypertension artérielle, la dyslipidémie, le sédentarisme!
Le traitement médicamenteux que vous allez recevoir lors de la sortie doit être respecté à long terme. Il comprendra plusieurs classes de médicaments essentiels, dont l'administration ne doit pas être interrompue sans l'avis du médecin spécialiste.
Tout ajustement de la dose ou du schéma thérapeutique doit être fait seulement avec l'avis du médecin!
Après un infarctus myocardique aigu ou même après le début de l'angine pectorale, les patients doivent procéder à des contrôles cardiologiques périodiques.
Ceux-ci sont essentiels pour:
Il est très important de discuter avec votre médecin cardiologue le programme des contrôles médicaux auxquels vous allez vous soumettre à l'hôpital ou dans le centre hospitalier dont vous appartenez.
Les personnes supra-pondérales ou obèses présentent un risque plus élevé de développer des maladies cardiovasculaires même quand ils n'y a pas d'autres facteurs de risque. L’excès de poids provoqué par les graisses contraint le cœur de travailler plus et déséquilibre les valeurs du cholestérol et du glucose dans le sang.
Pour découvrir ça, les spécialistes utilisent deux indicateurs: l'IMC (l’indice de masse corporelle) ou BMI ((Body Mass Index) et CA (la circonférence abdominale):
L’IMC (l’Indice de masse corporelle) est un indicateur officiel de calcul du poids corporel idéal, pour une hauteur donnée. L’indice de masse corporelle aide à l’établissement du groupe de poids correspondant à une personne, le degré d'obésité, mais aussi pour calculer le nombre des kilogrammes qu'une personne doit perdre ou gagner pour arriver au poids idéal. C’est la méthode qui peut être utilisée à la fois par les hommes et par les femmes ayant l’âge entre 18 et 65 ans. Pour découvrir votre IMC utilisez l'instrument suivant : le calculateur de l'indice de masse corporelle de BMI-Club.
L’interprétation de l’Indice de masse corporelle
La formule de calcul de l'Indice de masse corporelle (IMC)=poids (kg)/ [hauteur(m)] 2
CA (La circonférence abdominale) – la graisse en excès peut se déposer dans des plusieurs parties du corps. La plus nocive est la graisse qui se s'accumule dans la région de l'abdomen. Celle-ci est quantifiée en utilisant le paramètre suivant. Vous pouvez mesurez votre circonférence abdominale de manière très facile et simple en utilisant une bande centimètre (de couture) que vous mettez autour de l'abdomen.
En fonction de cette valeur, vous pouvez savoir si vous êtes au risque ou non. Les personnes soumises au risque sont:
L’hypertension artérielle évolue fréquemment de manière silencieuse, sans signes ou symptômes qui puissent avertir les patients sur la présence de la maladie. C'est pourquoi il est important de mesurer la tension artérielle (TA) à intervalles réguliers de temps. La tension artérielle est caractérisée par 2 valeurs. La première – plus grande – s’appelle tension systolique, la seconde – plus petite – s’appelle tension diastolique. La différence entre les 2 valeurs doit être d’environ 40 - 50 mmHg.
La période d’hospitalisation selon l'affection du patient est de:
CATEGORIES DE VALEURS DE LA TA | VALEUR SYSTOLIQUE | VALEUR DIASTOLIQUE |
---|---|---|
Normale | sous 120 mmHg ou | sous 80 mmHg |
Pré-hypertension | 120-139 mmHg ou | 80 -89 mmHg |
Hypertension le premier stade | 140-159 mmHg ou | 90 - 99 mmHg |
Hypertension le second stade | plus 160 mmHg ou | plus 100 mmHg |
Crise hypertensive. . Mesurez encore une fois après 5 minutes ou appelez l’ambulance | plus 180 mmHg ou | plus 110 mmHg |
Le futur dépend du risque de nouvelles lésions coronariennes et myocardiques et des séquelles de celles qui se sont produites.
La maladie cardiaque a une image particulière au niveau de la population. Elle est souvent considérée comme une maladie des personnes actives, ayant une vie stressante et pleine de responsabilités, ou une maladie des personnes qui ont fait des excès le long de la vie.
Au contraire, la maladie cardiaque n'est pas l'apanage des personnes stressées et chargées de responsabilité. Non, la maladie coronarienne n’est pas nécessairement une maladie dramatique et invalidante.
Elle est plutôt une maladie sur laquelle vous pouvez agir mais uniquement en adoptant un mode de vie sain et en suivant les recommandations médicales reçues. Le but principal que vous pouvez vous établir peut être d'avoir une vie plus harmonieuse et plus saine qu'avant l'infarctus myocardique aigu et ce but peut être atteint à coup sûr!